jeudi 17 janvier 2008

Sous les pavés la plage... et sous le bois : le champi - Mercredi 02/01

D'habitude j'adore les vacances de fin d'année, parce qu'on sait qu'il va y avoir les fetes et qu'on va voir la famille, les copains etc... mais cette fois ci je les voyais plus comme un frein à notre spectaculairissime avancée démolitassioneuse... En effet, difficile de jouer du marteaupik le lendemain de guindaille... Soit...


De retour donc au 23 afin de continuer les travaux. En ce qui me concerne, je continue à enlever les pavés (lourds, tres lourds) de la veranda et à casser la chappe comme je peux. Pendant ce temps Luc s'occupe de trouer les baies vitrées qui donnent vue sur la salle à manger depuis les escaliers.

Apres quelques heures de labeur je commence tout doucettement à voir la fin des pavés, et il est grand temps car je commence à manquer sérieusement de place vu le bordel que j'ai mis dans la veranda... Obligé donc pour pouvoir continuer de remettre en service notre bonne vieille goulotte de chantier afin afin de pouvoir me débarasser des pavés... Je muletise donc tout cela dans la remorque (2 seront necessaires...) puis direction le parc on conteneurs...

Pour info, un pavé pesait 4 kilos... et il y en avait plus ou moins 250... faites le compte ;-)


Pendant ce temps, au royaume du 23 Luc continuait à casser le mur du hall... jusqu'a ce qu'on mette à jour ce qui pourrait etre un gros probleme... La, caché depuis des années, dans l'obscurité la plus complete se cachait un vilain champignon pas beau... Duveteux, blanc... assez étendu... Je sonne donc à l'architecte pour voir à quoi ressemblait la merule et il me rassure tout de suite, d'apres ma description cela ne doit pas en etre...

Comme un tiens vaut mieux qu'une cruche qui va à l'eau, je me dis quand meme que je prefere faire analyser ce bazar par un spécialiste et en envoie donc un échantillon au service mycologie de l'Université de Liege (tsss... feraient meme pas de prix à un collegue ti ceux la...) et la cette fois c'est sur, ce n'est pas la merule mais un autre truc, un polypore... Il faut malgré tout traiter afin de ne pas en avoir partout (plus tard, Luc le brulera completement avant de le traiter avec le produit que j'avais été chercher amon je ne sais plus qui...).

Aucun commentaire: